Congrès
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Congrès 2019
Sous les applaudissements nourris de quelque 900 participants au Congrès du Syndicat libéral, le rapport d’activités « Quatre années à positiver » a été approuvé ce matin. De ce fait, Mario Coppens a été confirmé dans sa fonction de président national de la CGSLB pour les quatre années à venir.
Dans son allocution de clôture, Mario Coppens a rappelé toutes les mesures néfastes prises par le gouvernement Michel au détriment des travailleurs et des allocataires sociaux : le saut d’index, les flexi-jobs en 2015, la loi sur le travail maniable et le travail faisable, le renforcement de la norme salariale qui réduit encore la marge pour les augmentations salariales en 2017, la création de statuts précaires en 2018 et la mise en péril du financement de la sécurité sociale qui, soit dit en passant, fête ses 75 ans cette année et encore bien loin de prendre sa retraite.
Mario Coppens a également regretté que les partenaires sociaux n’aient pas suffisamment réussi à contrer ces mesures. Il en a tiré comme enseignement que : “En 2019, un syndicat ne peut se limiter à jouer l’empêcheur de mener en rond une politique antisociale. Nous voulons avoir notre mot à dire dans le débat, être proactifs en élaborant des propositions constructives et originales pour prouver que d’autres choix sont possibles.”
Congrès 2018
Un millier de délégués CGSLB se sont réunis ce matin en congrès statutaire au Heysel sur le thème “Apportons une touche de libéralisme social”. Les participants ont approuvé le texte du mémorandum afin de donner un caractère plus social au prochain accord de gouvernement. Mario Coppens, Président national : “la politique menée ces dernières années n’avait rien à voir avec le libéralisme social. La CGSLB développe des propositions concrètes pour apporter une touche, pour ne pas dire une couche, de libéralisme social au prochain accord de gouvernement, et explique pourquoi c’est urgent et nécessaire.”
La vision socio-économique du Syndicat libéral pour la période 2020-2025 comprend 9 volets : respect de la concertation sociale, pouvoir d’achat, création d’emplois, carrières, sécurité sociale, fiscalité, économie, mobilité et protection du consommateur.
La CGSLB émet au total 130 propositions politiques. À côté de grandes idées comme le financement de la sécurité sociale (basé sur deux piliers) ou la réforme fiscale (taxation duale progressive), nous lançons quelques propositions originales.
Congrès 2015
La CGSLB tenait un Congrès aujourd’hui à l’auditorium 2000 du Heysel à Bruxelles. Quelque 1 000 délégués, membres du personnel et invités du monde syndical et de la concertation sociale y avaient été conviés. À côté de l’approbation du rapport d’activités et du coup d’envoi de la campagne pour les élections sociales, l’événement a été marqué par l’élection du nouveau président national destiné à succéder à Jan Vercamst. Mario Coppens a réuni 85 % des voix sur sa candidature.
En la personne de Mario Coppens, c’est un juriste et un négociateur expérimenté qui présidera la CGSLB.Entré il y a 30 ans à la CGSLB, il a exercé les fonctions de chef du service juridique et de directeur du personnel. À ce dernier poste, en tant que membre du Comité exécutif, Mario Coppens a contribué au renforcement de l’offre de services aux délégués et aux affiliés, ainsi qu’à l’affirmation de la présence de la CGSLB sur la scène sociale belge.
Mario Coppens s’engage à poursuivre sur cette voie dans les années à venir. Cela passe d’abord par la concertation et le dialogue, tout en exprimant clairement nos revendications. Et cela s’applique également à la concertation sociale. Mario Coppens : “La CGSLB veut conclure des accords, mais pas à n’importe quel prix. Nous pouvons le cas échéant mettre de l’eau dans notre vin, nous ne nous contenterons pas d’eau et de pain sec !”
Mario Coppens a appelé le gouvernement à adopter une attitude plus neutre face à la concertation. Il nous a confié sa propre vision du syndicalisme : “Dans les prochaines années, nous allons restaurer l’image du syndicalisme. La CGSLB doit formuler des solutions positives et tout mettre en œuvre pour conclure des accords. Bref, plus de dialogue moins de casse. Et lorsque la concertation ne suffit plus, nous devons imaginer des actions qui peuvent entraîner des conséquences moins négatives sur le climat socio-économique. En tant que syndicat, nous devons contribuer à trouver des solutions constructives, tant au niveau national que dans les entreprises. Voilà pourquoi il est essentiel de former nos délégués pour en faire des experts et de convaincre les jeunes de la valeur ajoutée du syndicalisme. ”
Congrès 2012
Le Syndicat libéral a fêté '120 ans de Syndicalisme libéral’, le week-end dernier, à Forest National. Quelque 4 000 personnes se sont rendues à Bruxelles, sous un soleil radieux.
Au programme il y avait une séance académique avec quelques discours et un spectacle retraçant l’histoire du syndicalisme libéral. Le congrès s’est terminé par un concert d’'Hooverphonic', le groupe belge de renommée internationale.
A cette occasion, la CGSLB a également publié un livre de photos illustrant 120 ans de syndicalisme libéral.
Le Syndicat libéral, avec sa vision propre du libéralisme social, a montré qu’il occupe une place particulière dans la société et dans la concertation sociale belge.
Jan Vercamst : « Nous sommes des syndicalistes qui croient à l’économie de marché, MAIS nous pensons qu’il faut également des correctifs sociaux et des mécanismes de répartition. L'indexation automatique des salaires et la sécurité sociale en sont deux exemples importants. Nous sommes des syndicalistes qui font confiance à la force de chaque individu, MAIS nous trouvons la protection du groupe indispensable. Nous sommes des syndicalistes qui envisagent et pratiquent l’action syndicale d’une manière différente. Ce n’est pas pour rien que notre slogan est ‘La voix du bon sens’. Nous croyons au dialogue, au partenariat et à la création d’un climat de confiance. » Nous voulons continuer à suivre ce chemin et l’explorer davantage.
Discours du Président national
Congrès 2011
Les délégués réunis en Congrès le vendredi 13 mai à Bruxelles ont confirmé Jan Vercamst avec 99,18% des votes à la présidence de la CGSLB après avoir entendu le rapport d’activité du Comité exécutif de l’organisation. Ils ainsi ont pu mesurer le chemin parcouru pendant son premier mandat dans l’optique qu’il a définie dès son élection : croître et s’épanouir durablement.
Le Syndicat libéral a grandi en quatre années. Le nombre d’affiliés du secteur privé a crû de 11 %, plus d’un quart de million de travailleurs et d’assurés sociaux se reconnaissent dans notre vision de la société. La CGSLB a augmenté sa présence dans les organes de concertation et de négociation dans les entreprises suite aux élections sociales de 2008.
Elle dispose, depuis l’année passée, de deux représentants au Conseil national du Travail et au Conseil central de l’Economie.
Après avoir livré son bilan, Jan Vercamst a évoqué les défis qui se posent à l’avenir. L’un de nos objectifs-clés sera la participation des travailleurs à la gestion de leur entreprise.
Jan Vercamst a également rappelé les autres combats que nous menons : l’harmonisation des statuts ouvrier et employé, le maintien de l’indexation automatique des salaires et l’obligation de motiver tout licenciement…
A l’issue de ce congrès tout le monde était persuadé que la CGSLB était bel et bien prête à entamer la campagne des élections sociales de mai 2012, l’année où le Syndicat libéral fêtera ses 120 ans d’existence !
Congrès 2008
Liberté, solidarité, responsabilité et tolérance sont les valeurs fondatrices du libéralisme social tel que les 627 délégués de la CGSLB l'on redéfinit lors du congrès du 15 février 2008.
Congrès 2003
Les résolutions du Congres Elargi de la CGSLB (17 mars 2003) sont disponible en ligne.