Une reprise du travail lors du déconfinement – dont on ne sait ni quand ni comment il se produira – devra se faire en accordant une attention toute particulière à leur santé et leur sécurité tant par rapport aux risques de contagion qui demeureront qu’en termes de charge mentale.
Le Syndicat libéral a pris acte des décisions prises par le gouvernement Wilmès pour relancer les secteurs vitaux. Les mesures de l’accord pascal sont déséquilibrées en ce sens qu’elles ne tiennent compte ni des aspirations des centaines de milliers de travailleurs.
Afin de pouvoir verser une allocation de chômage temporaire, les organismes de paiement doivent avoir des dossiers complets : une déclaration du travailleur, mais également une déclaration de l’employeur. La procédure a été accélérée et simplifiée sans toutefois être automatisée.
La santé des travailleurs est la préoccupation première des organisations syndicales en cette période de crise sanitaire. Cela ne semble pas être le cas des organisations patronales de la construction qui refusent de prendre en considération les mesures de prévention soutenues par les syndicats.
Dans le contexte de crise liée au coronavirus, le CNT a adopté un avis unanime afin de prolonger la validité des titres-repas, des éco-chèques, des chèques cadeaux et des chèques sport/culture dont la date d’échéance est telle qu’ils risquent de ne pas pouvoir être écoulés compte tenu de la période de confinement et de fermeture de la plupart des commerces.
La CGSLB, la CSC et la FGTB sont de plus en plus interpellées par des travailleurs en incapacité de travail pour cause de maladie et qui se voient privés de leur salaire garanti par leur employeur. Pourtant, l’esprit de la législation est clair.