Pouvoir d'achat et réforme de la loi sur les salaires : nos positions
Notre pouvoir d'achat a trop diminué. La gravité de la situation impose des pas de géant plutôt que des pas de souris. La CGSLB demande aux différents gouvernements de prendre des mesures plus radicales :
La CGSLB demande :
- la réforme de la loi sur les salaires → En savoir plus
- le maintien inconditionnel de l’indexation automatique des salaires → En savoir plus
- l’instauration d’un dividende de salarié. Les travailleurs ont droit à une partie des bénéfices, qui pour le moment sont uniquement reversés aux actionnaires sous la forme d’un dividende → En savoir plus
- l’indexation automatique des titres-repas sur la base de l’indice pour l’alimentation et les boissons non-alcoolisées → En savoir plus
- un système de Dual Income Tax qui prévoit une progressivité de l’imposition des revenus du capital → En savoir plus
La CGSLB demande :
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des sérieux efforts des gouvernements pour rendre l’énergie abordable. Voici nos propositions :
- compenser la hausse de la facture d’énergie via une réduction de l’impôt sur les personnes physiques (en augmentant la quotité exemptée d’impôt)
- obliger les fournisseurs à proposer le tarif le plus avantageux
- contraindre les employeurs à verser une prime aux télétravailleurs.
- augmenter l’intervention de l’employeur dans les frais de déplacement domicile/travail.
- faciliter l’accès au tarif social
- améliorer l’information du public sur les tarifs et les différentes primes et chèques.
- simplifier les procédures administratives pour rénover les logements et assurer la transition énergétique.
- → En savoir plus
La CGSLB demande :
- l’instauration d’un salaire minimum effectif et réaliste pour tous les travailleurs
- la réduction de la pauvreté de moitié d’ici 2030 en Belgique
- le relèvement des allocations sociales au niveau du seuil de pauvreté européen
- à travail égal, salaire égal quel que soit le genre ou l’origine du travailleur
- avant toute introduction de nouvelles mesures budgétaires, le recensement et l’évaluation des conséquences sur le consommateur.
- un meilleur contrôle de la concurrence sur le marché belge grâce notamment à des moyens supplémentaires pour l’Autorité belge de la Concurrence.