Plusieurs journalistes politiques l'ont déjà évoqué, au lendemain des élections, le pays est divisé. La Wallonie, Bruxelles et la Flandre ont envoyé des signaux politiques différents, ce qui va compliquer la formation d'un gouvernement fédéral. Le Syndicat libéral attend maintenant de l'ensemble des partis démocratiques impliqués dans ce processus qu'ils soient attentifs à rechercher des solutions demandées par les citoyens en matière de pouvoir d'achat, mobilité, environnement et cohésion sociale.
Mario Coppens, Président national : "Quelle que soit la coalition, j'espère qu'elle tiendra davantage compte des attentes des travailleurs et des allocataires sociaux que ne l'a fait la Suédoise."
En cette période de formation d'un gouvernement, la CGSLB renvoie également à sa vision socio-économique pour la période 2020-2025. De nombreuses recettes socio-économiques proposées par les organisations syndicales permettraient de répondre concrètement aux attentes des citoyens : un pouvoir d'achat suffisant, des emplois de qualité, une sécurité sociale fiable, une fiscalité équitable, une économie productive et inclusive, une politique de mobilité durable.
Il est temps que le monde politique arrête son nombrilisme et fasse preuve d'ouverture d'esprit pour évaluer toutes les solutions rendant notre société plus sociale.
En savoir plus ?
Pour en savoir plus, nous vous invitons à lire le memorandum de la CGSLB pour les élections.