Les thèmes de la CGSLB pour les élections sociales 2020
Un pouvoir d’achat suffisant pour mener une vie agréable
La CGSLB se bat pour augmenter le pouvoir d’achat sur tous les tableaux : les salaires, les avantages extra-légaux, le système d’indexation automatique, la fiscalité sur les revenus du travail, la sécurité sociale et la consommation intelligente.
Voter CGSLB, c’est choisir l’amélioration du pouvoir d’achat par tous les moyens.
Un emploi sûr pour élaborer des projets d’avenir
À la CGSLB, nous n’aimons ni les emplois précaires ni le travail à temps partiel subi.
Les intérims, les contrats à durée déterminée qui se succèdent, les contrats pour une tâche définie, les faux indépendants, les auto-entrepreneurs des plateformes, les horaires courts… n’offrent trop souvent aucune perspective d’avenir aux travailleurs et aux travailleuses qui y sont contraints.
Pour se sentir bien au travail
Chaque travailleur·euse mérite de se sentir bien sur son lieu de travail. Représentants du personnel et direction doivent négocier des modes d’organisation individuels et collectifs du travail qui permettent de concilier au mieux les intérêts particuliers et l’intérêt général.
Voter CGSLB, c’est se battre pour une meilleure qualité de vie au travail.
Trouver son équilibre entre travail et vie privée
Les travailleurs et les travailleuses qui se sentent soutenus par leur employeur dans la recherche du bon équilibre entre carrière professionnelle et vie privée s’investissent davantage. L’entreprise a donc tout intérêt à mettre en place des solutions pour les y aider.
La CGSLB encourage plusieurs formes d’aménagement de carrière qui correspondent aux différentes situations de vie.
Une fin de carrière sur mesure
Pour la CGSLB, tout travailleur a droit à une fin de carrière dans des conditions acceptables, humaines et respectueuses.
Une approche intergénérationnelle de la qualité de la carrière impose par ailleurs de prendre en compte la situation des travailleurs âgés qui doivent connaître de nouvelles perspectives afin de pouvoir continuer à exercer leur fonction, tant sur le plan physique que mental.
La CGSLB demande des programmes de formation orientés vers l’avenir
S’il est important de former les personnes inactives sur le marché de l’emploi, il est évident que la formation tout au long de la vie est également essentielle.
Malheureusement, les employeurs voient cet élément encore trop souvent comme un coût au lieu de le considérer comme un investissement.
Wallonie: pour la bonne santé des entreprises et de la population
Pour ne prendre qu’un exemple, rejoindre son entreprise dans une zone industrielle autour de Wavre exige une patience à toute épreuve aux heures de pointe. Il apparaît donc clairement que les alternatives au véhicule privé doivent être privilégiées par rapport aux dépenses d’infrastructures routières.
Pour ne prendre qu’un exemple, rejoindre son entreprise dans une zone industrielle autour de Wavre exige une patience à toute épreuve aux heures de pointe.
La mobilité à Bruxelles passe par les plans de déplacement d’entreprise
Chaque jour, plus de 350 000 voitures circulent dans Bruxelles, uniquement dans la cadre des déplacement domicile-travail. Afin de résorber les embouteillages, la Région met en place de nombreux actions, parmi lesquels le plan vélo, le plan bus, les plans de déplacement d’entreprise, etc.
Le Plan de Déplacement d’Entreprise (PDE), comme le plan déplacement école et le plan déplacement d’activités ont pour objectif d’aider les Bruxellois et les navetteurs à adopter des modes de déplacement plus durable.
Baliser le télétravail : après l’urgence, il faut l’installer dans la durée
Le télétravail a été vivement encouragé par les autorités publiques pour réduire la dissémination du Coronavirus. À l’usage, il s’est imposé de lui-même. Quel avantage pour la mobilité ! Quel confort de vie pour chaque travailleur ou travailleuse ! Quelle augmentation de la productivité reconnaissent en privé les employeurs.
Voter CGSLB, c’est privilégier un télétravail de qualité, sans perdre le lien avec ses collègues.
Des emplois plus stables : les travailleurs ne sont pas qu’une variable d’ajustement
La crise met en exergue un problème qui touche les entreprises en temps normal aussi : l’adaptation du nombre de travailleurs aux besoins de l’employeur. En clair, les licenciements. L’occasion est trop belle de tailler dans les effectifs pour augmenter la rentabilité de l’entreprise et les bénéfices des actionnaires sans susciter trop de réactions.
Voter CGSLB, c’est défendre le maximum d’emplois pour garantir la qualité des conditions de travail et la continuation de l’entreprise.
Une sécurité sociale forte : nous avons tous besoin de la solidarité
La crise de la Covid-19 leur a montré que c’est la sécurité sociale qui a sauvé des vies, que c’est elle qui a empêché l'effondrement de notre société, et que c'est la sécurité sociale qui va contribuer à relancer l’économie en maintenant des travailleurs compétents en service, en préservant le pouvoir d’achat de la population et donc la consommation intérieure.
Voter CGSLB, c’est aussi défendre une vision moderne de la protection sociale pour le bien-être de tous.
Le rôle d’un délégué CGSLB pendant la crise Corona
Pendant la crise du Coronavirus, les délégués CGSLB ne sont pas restés inactifs :
- ils ont résolu les problèmes administratifs de leurs collègues
- ils ont mené une concertation constructive avec leur employeur, même en période difficile
- ils étaient présents en ligne pour informer un maximum de personnes, avec le soutien de la CGSLB
Toujours pour défendre les intérêts de chaque travailleur et travailleuse !