La 6ème conférence UNI EUROPA WOMEN'S CONFERENCE était organisé normalement sur Bruxelles en présentiel ce 24 avril. Suite à la situation sanitaire, plus de 250 femmes, délégués des syndicats ont assistés à la réunion en ligne et ont partagé sur la situation des femmes dans le monde du travail.
La Belgique a été remercié et salué pour l’aide apporter à cette journée du congrès consacré uniquement aux femmes. Il faut savoir que Bruxelles possède des noms de rues ou statues féminin : la statue de Jeanneke-Pis, la statue de Gabrielle Petit, espionne et résistance, la rue Rosa Luxembourg, militante socialiste et communiste, le quartier des marolles du nom des Sœurs qui venaient en aide aux prostituées du quartier « Maricolles » mais en Belgique il y a surtout des femmes syndicalistes fortes et fières.
- des femmes qui luttent pour l’égalité salariale,
- des femmes qui luttent pour revaloriser les pensions,
- des femmes qui luttent pour un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée,
- des femmes qui dénoncent la violence à l’égard des femmes,
- des femmes qui luttent pour la dépénalisation de l’avortement,
- des femmes en grève le 8 mars, journée internationale des droits des femmes.
Des femmes actives à l’international grâce à Uni ont prôné les mérites qu’on eut les femmes en 2020 et que quand les femmes s’arrêtent, le monde s’arrête.
La crise a permis la légitimité de cette affirmation aux yeux de tous. En effet, les métiers des soins de santé, dans les commerces, dans le nettoyage étaient essentiellement des travailleuses en premières lignes.
Il est primordial que nos syndicats ensemble continuent ce combat commun de défense des droits des femmes dans tous les pays européens et internationaux.